Merci à tous pour votre inscription Bientôt une intrigue et le retour de la guerre des groupes qui avait fait succès lors de la première version. Aussi, les groupes free as a bird et little jackass with bulldog sont fermés à partir d'aujourd'hui, jusqu'à nouvel ordre.  ▷ NOW IT'S OVER 2806429274
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Siohban Chamberlain
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Siohban Chamberlain

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MessageSujet: ▷ NOW IT'S OVER    ▷ NOW IT'S OVER EmptySam 10 Déc - 21:12

It's not a love, it's not a love, it's not a love song.

SYDNEY, AUSTRALIA (16h30)
Un résident avait dit à Siohban que les périodes de Noël étaient les plus attendues par tous les futurs médecins ou chirurgiens de l’hôpital. Non pas parce que c’était le moment où l’idée de compétition s’atténuait pour laisser place à la magie et au bonheur, mais parce que c’était pendant ces périodes que le nombre d’accidents augmentait de manière fulgurante. Accidents en tout genre : un idiot qui se coupait en emballant des cadeaux, un autre qui se plaignait de douleurs au dos parce qu’il avait voulu jouer le père Noël, une autre idiote qui angoissait à l’idée de passer noël seule et qui préparait ses cuites avant l’heure. Chaque jour était une nouvelle surprise et c’était dans ces moments là que la jeune femme se sentait absolument ravie d’être interne à l’hôpital de Sydney, oui ce n’était sûrement pas en étant enfermée dans un amphi toute la journée qu’elle aurait pu assister à ce genre de choses ! Alors, que le commun des mortels attendait de passer un Noël joyeux en compagnie de toute leur famille et préparait des mets délicieux ou se creusaient la cervelle pour trouver comment faire la différence, Siohban et ses compatriotes médecins n’espéraient qu’une chose : voir le sang couler. Ils espéraient que la mère de famille se coupe par inadvertance la totalité de l’index en ayant voulu couper la dinde, ils espéraient que le père de famille se soit électrocuté en ayant voulu brancher le sapin. Les internes de l’hôpital étaient sur le qui-vive. Ils attendaient en ligne sur le parvis de l’hôpital pour prendre en charge la première ambulance qui arriverait, parce que ambulance était synonyme de cas plus graves et donc de bloc. Siohban aurait tout donné pour pouvoir être enfermée au bloc pendant huit heures comme s’apprêtait à l’être Rosae. Non, à la place elle devait imaginer avec Garrett surtout à l’aide de son habituelle délicatesse, le prochain cas qui allait arriver et qu’ils guettaient avec impatience. Bien sûr, il y avait aussi Sienna à leurs côtés, emmitouflée dans sa robe de patiente, une multitude de perfusions branchés à tous les endroits possibles, faible, fatiguée mais radieuse comme à chaque période de Noël. Siohban avait insisté pour la raccompagner dans sa chambre, afin qu’elle se repose au lieu de rêver aux idioties de ce moment de l’année qu’elle détestait particulièrement mais non, à la place elle restait là, à se permettre un commentaire ou deux, ne lâchant pas la jeune femme d’une semelle. « Cette petite c’est ta perte Chamberlain. » lui avait-dit Garrett. Oui, parce que depuis que Siohban avait franchi les potes de l’hôpital pour commencer son internat il y a quelques mois, il n’y avait plus eu que Sienna. Sienna la jeune adolescente de la chambre 267 qui souffrait d’un cancer. Il n’avait fallu que d’une seule journée, Siohban avait du lui poser un catétaire et Sienna avait été intriguée : intriguée par ce cynisme, par cette façon de montrer que rien ne comptait à ses yeux, et surtout fascinée par les mots qu’elle avait entendu à la question « Je vais mourir ? » « Oui sûrement. Sèche tes larmes, lève-toi et bats-toi contre cette chose. Tu perds ton temps à pleurnicher comme une enfant, ça ne te sauvera sûrement pas.». Sienna avait vu en Siohban une sorte de fille au grand cœur, qui n’avait que pour seule ambition celle de devenir médecin et de cacher ces sentiments sous une lourde carapace de cynisme et d’autodérision. Surtout, elle avait sur voir en elle, ce que seuls peu de personnes pouvaient voir: une amie. Siohban était à Sienna, une sorte de remède qui l’avait aidé à tenir quelques mois alors que tout le monde avait juré qu’elle ne tiendrait que quelques semaines. Sienna était à Siohban une amie, une confidente à qui elle confiait la plupart de ses pensées, ce qui était rare et qu’elle ne faisait même pas à sa propre meilleure amie. Oui, comme disait Garrett, Sienna était la perte de Siohban parce que si elle finissait par mourir, elle ne s’en remettrait jamais. Siohban quitta ses pensées à l’entente de la voix sévère du chirurgien de neuro qui venait d’arriver dans la cour, « on vous cherche partout. Adams tu viens avec moi au bloc, Richards tu accompagnes le docteur Fields pour une opération à cœur ouvert. » Et moi ? pensa Siohban qui ne s’était jamais autant ennuyée et qui pensait sérieusement à aller s’allumer une clope. « Chamberlain, toi tu as Sienna, je ne peux pas te laisser aller au bloc, bas aux urgences le docteur Montgommery a besoin de toi. ». Oui, voilà comme Siohban, une des meilleurs internes de l'hôpital destinée à de grands prodiges en neurologie, se retrouver aux urgences à soigner des rhumes, des maux de tête et autres petites douleurs dans ce genre, toujours suivie de Sienna. « On dirait qu’on va passer la journée ensemble. » « Ouais, fin je vais tout faire pour éviter ça, crois-moi » lui avait répondu la jeune interne alors que sa patiente, habituée, souriait. C’est en se rendant aux urgences, que Siohban comprit immédiatement pourquoi le docteur Montgommery avait besoin d’aide. La salle était comblée. Dès qu’elle franchit les portes, le docteur tomba sur elle : « Ok, prends le box 4 ». Elle se disputa un moment avec Sienna pour lui demander de rester à l’extérieur puis entra en prenant le dossier du patient. « Gallagher, Eth.. » elle releva immédiatement la tête et remarqua la silhouette de son meilleur ami, assit sur le lit occupé à faire du rentre dedans à l’infirmière qui s’occupait de sa perf. Le fait de ne pas être dans le bloc et également de voir cette blondie secouer sa chevelure de cette manière mit la jeune femme dans un état de rage intérieure qu’elle se garda bien de montrer. « C’est bon, je vais prendre le relai. » dit-elle alors qu’ils se rendaient enfin compte de sa présence. La blondie protesta mais Siohban n'était pas du genre à se laisser impressionner. "le docteur Montgommery m'envoit, crois-moi. Donc ce que je te demande maintenant c'est d'aller faire joujou ailleurs" ce qui convint la blonde à définitivement sortir du box.La délicatesse de Siohban comme à son habitude. Siohban ne regarda même pas le dossier d'Ethan parce qu'elle le connaissait déjà par cœur, ses allergies, les traitements qu'il avait pu prendre, ses antécédents. Elle le referma, le posa au pied du lit et lui fit face, décidée à élever la voix depuis qu'il était revenu. "Qu'est-ce qui t'arrive ?"
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MessageSujet: Re: ▷ NOW IT'S OVER    ▷ NOW IT'S OVER EmptyVen 16 Déc - 17:58


    Un accident stupide. Voilà comment j’étais arrivé ici. Pourtant, ça marchait toujours d’habitude comme technique. Embrasser la passagère de la voiture alors que je roule, ça m’arrive de temps en temps mais ça n’a jamais mal tourné. J’arrive toujours à garder un œil distrait sur la route et je suis un bon conducteur. Mais la droite de la voiture, je ne la vois pas du tout puisqu’il y a le visage de la femme. Alors, je n’avais pas vu la voiture arriver à ma droite et complètement griller le stop. Mais comment conduisent les gens de nos jours ? Moi, j’étais juste un peu au-dessus de la limite de vitesse, c’est pas grave. En tout cas, la voiture nous fonce dedans de plein fouet et j’enfonce la pédale de frein dans un réflexe. Ça ne nous empêche pas d’être secoués. La femme à côté de moi crie comme si on allait mourir et moi, j’ai rien le temps de faire de plus que je viens me taper contre le volant et que je perds connaissance.
    Je me réveille dans l’ambulance, sonné, un peu blessé mais assez réveillé. Deux ambulanciers sont penchés sur moi et vérifient des trucs. Ils parlent mais je n’ai aucune idée de ce qu’ils racontent. Je ne peux pas m’empêcher de penser que Sio saurait tout m’expliquer en détails si elle était là. En tant que l’avocat que je suis, je ne comprends rien au charabia médical mais ma meilleure amie sait tout sur tout. Tiens, elle me rendra peut-être visite si je vais à l’hôpital. Un des médecins s’aperçoit que je suis réveillé et met fin à mes pensées en venant me poser des questions sur comment je me sens, où j’ai mal, tout ce blabla. Je réponds par des monosyllabes et le médecin au-dessus de moi n’a pas l’air très inquiet. L’ambulance s’arrête et les ambulanciers viennent me sortir de là. L’un d’entre eux me rassure sur l’état de la femme qui était avec moi. Ah oui, y avait une femme avec moi ! Tant mieux, je n’ai pas tué quelqu’un au moins. Je referme les yeux pour éviter de voir tout défiler au-dessus de moi. Lorsque je m’arrête, je rouvre les yeux et je me laisse faire. Quelques médecins viennent me demander des informations, on sort mon dossier qui date d’il y a un moment et une infirmière installe ma perfusion et d’autres trucs. Jolie ! Même blessé et un peu étourdi, je vois bien qu’elle me regarde en souriant. Je lui fais quelques compliments sur sa façon de tenir une seringue, des trucs cons et ça marche. Je la vois sourire encore plus et répondre à mes phrases. Du coup, elle en oublie de me mettre la perfusion. Tant mieux, je n’aime pas ça. C’est pas que j’ai peur des piqures mais si je peux les éviter, je ne dis pas non. Et nous voilà interrompus par une voix que je connais très bien. Elle vient déjà me rendre visite ? Non, vu sa tête, elle n’a pas l’air au courant. « C’est bon, je vais prendre le relai. » Siohban qui s’occupe de moi ? Etonnant. « Le docteur Montgommery m'envoie, crois-moi. Donc ce que je te demande maintenant c'est d'aller faire joujou ailleurs » Ah non, elle est forcée, tout prend son sens. Je ne dis rien, laissant l’infirmière s’enfuir après l’accès de gentillesse de Sio. Vu l’énervement de Sio, ça risque d’être amusant. Tout d’un coup, je ne suis plus du tout étourdi. « Qu'est-ce qui t'arrive ? » Ah oui, elle ne sait pas encore ! Ça risque de lui faire plaisir d’entendre mon histoire. « Quelle chance j’ai de t’avoir comme docteur ! Mon amour de meilleure amie ! » Je lui lance un petit sourire taquin. « Ce qui m’est arrivé ? Tu ne vas jamais le croire. Tu sais, cette technique que j’ai déjà utilisée avec toi. T’embrasser alors que je conduis. Tu te souviens comme tu trouvais ça dangereux mais que tu aimais trop ça pour arrêter ? Et bien, tu avais raison, c’était dangereux. Une voiture m’a foncé dedans alors que j’embrassais une jolie blonde. » Je lui souris, sachant parfaitement que ça va provoquer de la jalousie chez elle mais que jamais elle ne le montrera. Siohban et sa fierté. « Tu vas quand même me soigner hein ? J’ai jamais eu de preuve que tu étais un bon docteur, je veux voir ça de mes propres yeux. »

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MessageSujet: Re: ▷ NOW IT'S OVER    ▷ NOW IT'S OVER EmptySam 17 Déc - 14:56

It's not a love, it's not a love, it's not a love song.

SYDNEY, AUSTRALIA (16h30)
Des contusions, des ematomes, une large plaie sur son front, et Ethan trouve le moyen de continuer à faire des petites blagues. A la vue de son visage meurtri, Siohban arrive presque à ressentir de la pitié à son égard et une vague de remords la submerge, alors que des souvenirs de la méchanceté dont elle a fait preuve à son égard depuis qu’il est revenu à Sydney, lui reviennent. « Qu’est-ce qui t’arrives ? » question idiote puisqu’elle sait pertinemment ce qu’il lui arrive, c’est noté noir sur blanc sur le rapport dans son dossier : accident de voiture. Il semble pourtant bien en forme et arrive même à la taquiner : « Quelle chance j’ai de t’avoir comme docteur ! Mon amour de meilleure amie ! ». Ce qui ne parviendrait pas à la faire sourire en temps normal mais qui provoque tout de même un petit simulacre de sourire au coin de sa lèvre, sûrement causé par le soulagement de le voir en vie. Siohban, entreprend de l’ausculter pendant qu’il s’apprête à raconter son histoire. Elle s’assit à ses côtés sur le lit et observe ses yeux bleus à l’aide de sa lampe, pour surveiller un éventuel trauma. Elle lui demande ensuite de suivre ses doigts, ce qu’il arrive à faire correctement. Avec hésitation, elle place ensuite ses deux mains gantés sur le front de celui qui s’est avéré être son meilleur ami pendant de longues années et après quelques minutes de gène, elle parvint à observer la blessure calmement tout en l’écoutant parler. « Tu te souviens comme tu trouvais ça dangereux mais que tu aimais trop ça pour arrêter ? Et bien, tu avais raison, c’était dangereux. Une voiture m’a foncé dedans alors que j’embrassais une jolie blonde. » A la fin de sa phrase, elle retrouve de nouveau la colère qu’elle éprouvait lorsqu’elle se trouvait habituellement à ses cotés, toute trace de remords a définitivement disparu de son être et avec colère, elle appuie son doigt sur sa blessure en sachant pertinemment, la douleur qu’elle provoquera pour lui. Devant sa tête, elle fait semblant de s’excuser ; « excuse-moi, mon doigt a dérapé.  ▷ NOW IT'S OVER 309181304 ». Alors qu’il se remet de cette petite vengeance mesquine, Siohban attrape le dossier et note ses observations. Pas de perte de connaissance, parfaite compréhension de ce qu’il entoure (même apte à faire chier son monde). Il n’y a à priori rien de grave. Juste son audace habituelle qui arrive à lui faire perdre son calme habituel. « Tu vas quand même me soigner hein ? J’ai jamais eu de preuve que tu étais un bon docteur, je veux voir ça de mes propres yeux. » demande-t-il sûrement perturbé qu’elle ne lui ait encore rien prescrit. Elle s’apprête à lui répondre qu’il n’a rien alors qu’elle se trouve derrière lui, à refermer le dossier, lorsqu’elle l’entend esquisser un mouvement pour s’allonger sur le côté, suivi d’un gémissement de douleur : « Tu as mal ? » elle parvient à poser cette question uniquement pour elle. Sans attendre de réponse, elle lui ordonne : « enlèves ton t-shirt. »
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MessageSujet: Re: ▷ NOW IT'S OVER    ▷ NOW IT'S OVER EmptyLun 19 Déc - 10:03

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Un instant, je me dis que c’est peut-être pas une si bonne idée de la taquiner et de la rendre jalouse alors qu’elle doit me soigner. Mais c’est impossible de résister. Je sais parfaitement comment elle fonctionne, je la connais par cœur malgré le temps passé loin de l’autre. Alors, je lui raconte mon histoire pendant qu’elle fait quelques tests pour vérifier que je vais bien. Au passage, j’en rajoute un peu, lui rappelant qu’elle avait été à la place de la passagère. Et ça ne rate pas, elle se venge directement en appuyant sur mon front. Merde, je suis blessé sur le front ? Et dire que j’aurais sûrement rien senti si elle n’y avait pas touché. « Excuse-moi, mon doigt a dérapé. » Je lève les yeux au ciel. Je ne sais même pas pourquoi elle dit ça, elle sait très bien que je connais la vérité. Je touche légèrement mon front mais ça ne fait que plus mal. Tant pis, elle a intérêt à me soigner maintenant. Je relève les yeux vers elle. Elle écrit dans le dossier et je lui demande si elle va finir par me faire quelque chose. Puis je me tourne sur le côté, voulant mieux la regarder. Mais ce mouvement me fait mal et je ne peux empêcher un gémissement. Merde, j’avais l’impression de ne rien avoir pourtant. « Tu as mal ? » Non, je fais semblant voyons. Je lui souris malgré la douleur. « Enlèves ton t-shirt. » Je la regarde avec un petit sourire taquin avant de commencer à retirer mon t-shirt. « Il faut vraiment que j’ai un accident pour que tu reprennes tes bonnes vieilles habitudes ? T’es pas croyable comme… » Je m’interromps car je n’arrive pas à retirer plus mon vêtement sans souffrir le martyr. Merde, j’ai un trou dans le ventre ou quoi ? « C’est si grave que ça pour que j’arrive pas à lever les bras ? Tu m’aides du coup ? » J’aurais pu en faire semblant pour que ce soit à elle de me déshabiller sauf que ce n’est pas le cas et elle doit bien le voir. Elle est médecin, elle doit bien savoir quand les gens souffrent vraiment non ?
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